La Comtesse

20,00 €

“Soin éclairé”

Œuvre de Ségur

100ML

Cette Œuvre de Ségur, est un liniment oléo-calcaire réalisé à partir d’huile de Tamanu et de sésame et d’une touche de cire d’abeille, pour une texture stabilisée et onctueuse. Ce soin nettoie en douceur (pollution, poussières, micro-organismes, sébum, toxines, etc.) et démaquille efficacement sans agresser la peau. Il apaise les irritations tout en déposant un léger film lipidique protecteur. Après utilisation, la peau du visage est propre, douce et hydratée.

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“Soin éclairé”

Œuvre de Ségur

100ML

Cette Œuvre de Ségur, est un liniment oléo-calcaire réalisé à partir d’huile de Tamanu et de sésame et d’une touche de cire d’abeille, pour une texture stabilisée et onctueuse. Ce soin nettoie en douceur (pollution, poussières, micro-organismes, sébum, toxines, etc.) et démaquille efficacement sans agresser la peau. Il apaise les irritations tout en déposant un léger film lipidique protecteur. Après utilisation, la peau du visage est propre, douce et hydratée.

“Soin éclairé”

Œuvre de Ségur

100ML

Cette Œuvre de Ségur, est un liniment oléo-calcaire réalisé à partir d’huile de Tamanu et de sésame et d’une touche de cire d’abeille, pour une texture stabilisée et onctueuse. Ce soin nettoie en douceur (pollution, poussières, micro-organismes, sébum, toxines, etc.) et démaquille efficacement sans agresser la peau. Il apaise les irritations tout en déposant un léger film lipidique protecteur. Après utilisation, la peau du visage est propre, douce et hydratée.

Histoire et processus

Le liniment oléo-calcaire repose sur une réaction chimique appelée saponification, qui se produit entre l’eau de chaux et une huile végétale. Ce processus est également utilisé pour la fabrication de savons. Le liniment, cependant, agit comme un nettoyant doux, laissant sur la peau un film protecteur et nourrissant, souvent qualifié de "surgras".

La comtesse de Ségur et ses préceptes de santé

Peu le savent, mais la comtesse de Ségur est l’auteure d’un petit ouvrage intitulé La Santé des Enfants (1856), un manuel de 90 pages où elle partage ses observations sur les maladies infantiles et les aléas du quotidien. Ce texte, empreint de bienveillance et d’expérience, s’adresse aux mères et jeunes femmes de son époque.

Elle écrit avec humilité :

« Je n'ai pas la présomption de vouloir faire un livre de médecine. Je désire seulement combler une lacune dans l’éducation des jeunes personnes en leur faisant partager le fruit de ma longue expérience et de quelques études sur l’éducation physique des enfants. Que de fois ai-je vu de pauvres mères pleurer des enfants qu'elles auraient pu conserver si elles avaient su prévenir la maladie ou, tout au moins, accompagner les prescriptions du médecin par des soins éclairés. »